Dans un mois, le 2 mars, sera dévoilée à Genève la Renault Wind, un petit coupé-cabriolet de 3.83 m de long, soit vingt-trois centimètres de plus que la Twingo, dont il dérive.
Un engin à deux places, muni d’un toit électrique pivotant en seulement douze secondes. Avantage du système : le gain de place. Sans mécanisme de bras articulés à loger dans le coffre en version découverte, la capacité de la malle reste constante, avec 270 dm3. La sensation « cheveux aux vents » devrait toutefois être limitée, avec un pare-brise avancé, et une hauteur de flancs conséquente.
En utilisant le nom Wind, Renault démarque son nouveau modèle de la Twingo. Wind, c’était aussi le nom d’un concept Renault dévoilé il il a six ans, à Genève : déjà un petit cabriolet deux places (plus une d’appoint), mais à l’architecture complètement différente. La Wind de 2004, sorte de Mazda MX5 au losange, disposait d’une capote en toile et lunette arrière en verre, long capot avant (abritant un moteur 2.0 16v 136 ch.), arrière ramassé et pare-brise presque vertical remontant sur les côtés.
RENAULT WIND, Mondial de l’Automobile, Paris, octobre 2004