PAR BENOÎT FAUCONNIER
Chaque année paire, au mois de janvier, le salon de Bruxelles s’installe au Palais des expositions de la capitale belge, entre l’Atomium et le stade du Roi-Beaudouin, ex-Heysel. Bien que rendez-vous de « seconde zone », dans la mesure où les constructeurs préfèrent dévoiler leurs nouveautés à Francfort, en septembre de l’année précédente, ou à Genève, deux mois plus tard, voire à Paris en octobre, Bruxelles reste l’un des plus gros salons d’Europe du Nord avec 600.000 visiteurs.
Un salon finalement très proche, dans l’esprit, à ce que fût Francfort : le virage vers l’auto moins polluante est clairement amorcé avec une panoplie d’études de véhicules hybrides ou électriques. La réalité, c’est celle de la chasse aux émissions de CO2 : les autos passant sous la barre des 100 gr. sont maintenant légion. Ce club de moins en moins fermé a pour sociétaires les Ford Fiesta TDCI 90 et Focus TDCI 110 Econetic, VW Polo 1.6 TDI 90 et Golf 1.6 TDI 105, Peugeot 207 et Citroën C3 HDI 90 FAP, Renault Clio dCI 85, Audi A3 TDIe 105, Volvo C30 1.6D DRIVe, Seat Ibiza et Leon Ecomotive.
A l’autre bout de l’échelle, Ferrari montrait pour la première fois en Belgique la 458 Italia. Mercedes a réservé un vaste plateau à sa SLS AMG aux fameuses portes papillon. Un comparatif à distance a pu être établi entre les Porsche Panamera et Aston Martin Rapide, avec en outsider la BMW Série 5GT. L’honneur est sauf…
Pour visualiser l’album du salon de Bruxelles 2010, c’est ici…